Une aventure longtemps attendue

Par Jenn Gidman
Images de Christine Dwyer

Christine Dwyer a toujours eu un appareil photo 35 mm à la main pendant son enfance, mais la photographie l'a abandonnée à l'âge adulte. Puis, au cours des dernières années, elle a commencé à penser davantage à un rêve qu'elle caressait depuis l'enfance : visiter l'Afrique. "J'ai commencé à économiser de l'argent et à faire des projets, puis le COVID est arrivé", dit-elle. "Ces projets ont été temporairement mis en suspens. Mais à mesure que la pandémie s'atténuait, je n'arrêtais pas de me dire : "Et si je ne réalisais jamais ce rêve ? Et si je ne partais jamais ?"

C'est ainsi que Christine a contacté Consultants Aventure Afrique et a finalement organisé le voyage, s'embarquant pour un périple à travers plusieurs pays en septembre et octobre derniers. "Une fois que j'ai compris que je faisais cela, j'ai aussi réalisé que je devais recommencer à perfectionner mes compétences en photographie", dit-elle. "J'avais un reflex numérique, mais je n'avais pas vraiment travaillé avec. J'ai passé une bonne partie de la pandémie à me documenter sur la photographie et à regarder des vidéos pour me réhabituer à prendre des photos".

Avant que Christine ne parte à l'étranger, un ami lui a dit qu'elle aurait besoin d'un objectif zoom polyvalent pour son voyage. Tamron 18-400mm Di II VC HLD zoom tout-en-un. Avec une plage de focales allant du grand angle au téléobjectif, le 18-400 était exactement ce que Christine recherchait pour l'aventure de sa vie.

"La portée de cet objectif était essentielle, surtout dans les situations où je ne pouvais pas m'approcher des animaux que je photographiais", explique-t-elle. "En même temps, j'ai pu faire un zoom arrière pour capturer les paysages étonnants que j'ai vus et qui méritaient d'être photographiés à eux seuls. De plus, la fonction de compensation de vibration (VC) du 18-400 a été très appréciée. J'étais tellement excité à la vue des animaux que la stabilisation de l'image pour contrôler le tremblement de l'appareil était une nécessité.

La première étape du voyage de Christine en Afrique a été l'Ouganda, un séjour de cinq nuits qui comprenait une visite du parc national de la forêt de Bwindi, où elle est allée à la rencontre des gorilles. C'était la première fois que je prenais l'un de ces minuscules avions de type "puddle-jumper", raconte-t-elle. "Nous avons atterri sur un terrain en herbe, ce que je n'avais jamais fait.


18-400mm (246mm), F/6.3, 1/250 sec, ISO 400

Pour son excursion de suivi des gorilles, Christine, trois autres visiteurs, leur guide et un garde-faune armé d'un fusil - au cas où - ont escaladé une montagne escarpée, où un garde forestier qui surveille les gorilles les avait prévenus de l'endroit où les animaux se tenaient. "Mon cœur battait à cause de l'anticipation et de l'altitude", dit Christine en riant. "Mais quand nous sommes arrivés au sommet, j'ai pleuré, parce que c'était tellement magique. Nous avons pu passer une heure avec les gorilles, qui ont l'habitude d'être entourés d'humains pendant de courtes périodes. J'ai pu zoomer avec le 18-400 pour remplir le cadre avec leurs visages, qui sont si expressifs et remplis d'émotion.


18-400mm (400mm), F/6.3, 1/250 sec, ISO 400

L'itinéraire suivant de Christine était un safari en rivière, où elle a vu des hippopotames et des crocodiles, suivi d'un voyage au Kenya. "Je ne suis restée qu'une nuit au Kenya, mais c'est là que j'ai photographié le rhinocéros que vous voyez ici", explique-t-elle. "J'ai toujours voulu en voir un de près. Il n'y en a plus beaucoup et ils sont parfois difficiles à trouver. J'ai adoré pouvoir zoomer suffisamment pour montrer ces deux petits oiseaux accrochés au dos du rhinocéros, en train de faire un tour".


18-400mm (300mm), F/6.3, 1/200 sec, ISO 125

Du Kenya, Christine s'est rendue en Tanzanie, où elle a passé trois nuits dans le Serengeti sous une tente. C'est là qu'elle a eu la chance de photographier de grands félins, notamment des léopards et des lions. "Grâce au zoom 18-400, j'ai pu photographier le lion avec son petit et le léopard dans l'arbre, juste au coucher du soleil, lorsque la lumière était parfaite", raconte-t-elle. "J'y suis retournée plus tard avec mon guide et j'ai vu le léopard descendre de l'arbre, récupérer sa proie du soir au pied de l'arbre et la remonter.


18-400mm (400mm), F/6.3, 1/40 sec, ISO 200


18-400mm (400mm), F/6.3, 1/60 sec, ISO 100

Dernière étape pour Christine : la réserve de Selous, dans le sud de la Tanzanie, où elle a photographié un cobaye et un défilé d'éléphants. "Il faisait extrêmement chaud et sec là-bas", raconte-t-elle. "Il n'avait pas plu depuis des mois. Je n'ai pas eu à trop zoomer pour les éléphants. Ils se trouvaient à une quinzaine de mètres. Le 18-400 est tellement net que vous pouvez voir chaque ride de leur peau.


18-400mm (400mm), F/6.3, 1/800 sec, ISO 640


18-400mm (90mm), F/6.3, 1/1000 sec, ISO 320

Malgré la proximité des pachydermes, Christine n'a pas eu peur des merveilleuses créatures qui se trouvaient devant elle. "Les hippopotames et les crocodiles lors de la croisière sur le fleuve étaient effrayants, tout comme la hyène qui reniflait autour de ma tente dans le Serengeti", dit-elle. "Mais ces éléphants étaient tout simplement magnifiques.


18-400mm (70mm), F/6.3, 1/1000 sec, ISO 320

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