Comment faire : Photographier des oiseaux en vol

Image de couverture de Kristofer Rowe - Images ci-dessous et conseils de Jillian Bell

Si vous voulez mon avis, photographier des oiseaux en vol, c'est un peu comme les avions à réaction... mais c'est beaucoup plus difficile ! Lors d'un meeting aérien, il y a un programme, vous pouvez entendre les jets arriver, vous savez exactement où ils seront.

Les oiseaux, en revanche, demandent de la pratique, de la patience et de la planification. Avec toutes les bonnes intentions et un bel objectif à longue focale, vous pouvez toujours manquer ce moment, ou vous pouvez capturer quelque chose de formidable. Plus vous disposez d'une longue focale, plus votre sujet sera proche dans le cadre, mais plus il sera difficile à suivre. Tamron propose de nombreux objectifs légers objectif zoom ultra-téléphoto options disponibles. Tout ce qui est supérieur à 300 mm est un bon point de départ. Il est préférable d'opter pour un diamètre de 600 mm.

Ces conseils rapides vous aideront à prendre votre envol en matière de photographie d'oiseaux. En tant qu'ornithologue passionné, mais pas en tant que photographe animalier autoproclamé, je prends beaucoup, beaucoup de photos. J'en conserve quelques-unes, mais je les efface souvent, et c'est très bien ainsi.

Les qualités que je recherche dans ces photographies de vol d'oiseaux "à conserver" sont les suivantes :

CONSEIL 1 : Un bon placement des ailes

Je recherche une image où les ailes sont déployées ou à l'apogée de leur mouvement. Comme dans le sport, l'apex montre la plus grande amplitude de mouvement, la meilleure énergie dans le mouvement. Les différentes positions des ailes peuvent vous indiquer ce que fait votre oiseau dans les airs. Est-ce qu'il fait du kettling ? Poursuit-il sa proie ? Se prépare-t-il à atterrir ? Quoi qu'il en soit, mes meilleures photos sont celles où l'on peut encore voir le visage de l'oiseau.

Jillian Bell
150mm, F6.3, 1/640 sec, ISO 100

CONSEIL 2 : Bonne lumière et bon contraste

Comme pour les autres formes de photographie, il faut que le sujet soit face à la lumière. Les oiseaux en vol sont difficiles à prévoir, la bonne lumière dépend de votre position (angle de prise de vue) en tant que photographe. Je me positionne avec le soleil dans le dos et je ne photographie que les oiseaux qui viennent vers moi. Tout ce qui vient de derrière moi n'a pas d'importance. Un bon contraste est obtenu lorsque vous tenez compte de la relation entre l'oiseau et son arrière-plan. Ce couple de canards colverts présente un meilleur contraste devant un ciel bleu clair. Si les arbres constituaient l'arrière-plan principal, mes sujets se fondraient et deviendraient moins évidents.

Jillian Bell
600mm, F8, 1/1600 sec, ISO 500

CONSEIL 3 : Bonne période de l'année

J'ai un taux de réussite plus élevé si je me concentre sur les schémas de migration des différentes espèces. Pour les photographes qui ont besoin de pratique, il est important de tenir un journal. Les oiseaux de basse-cour et les oiseaux de proie ont tendance à passer dans mon jardin à peu près à la même période de l'année chaque année. Vous pouvez aussi partir en voyage ! Janvier-mars est une période idéale pour voyager et observer les oiseaux. Septembre-octobre est une autre période propice à la migration dans votre région.

Jillian Bell
600mm, F11, 1/1000 sec, ISO 500

CONSEIL 4 : La bonne vitesse d'obturation

Être au bon endroit, dans la bonne position, c'est la moitié de l'équation du succès. L'autre moitié dépend de la vitesse d'obturation que vous choisissez d'utiliser. Encore une fois, les oiseaux en vol sont similaires à la photographie d'avions. Une vitesse d'obturation plus élevée permet d'obtenir des détails plus nets. Une vitesse d'obturation plus lente permet de faire ressortir le mouvement de l'hélice de l'avion ou des ailes de l'oiseau. Mes vitesses d'obturation se situent normalement entre 1/250e et 1/4000e de seconde.

L'ouverture dépend de l'objectif utilisé. Par exemple, j'ai configuré mon appareil photo en mode manuel modifié en utilisant la fonction Tamron 150-500mm F/5-6.7 DI III VC VXD (Modèle A057) à 500 mm. Vitesse d'obturation = 1/1000sec, ouverture = F/8 ou F/11, ISO = AUTO. Je peux facilement augmenter ou diminuer la vitesse d'obturation et utiliser la compensation d'exposition si nécessaire.

Conseil 5 : Autres paramètres

L'autofocus est réglé sur continu, pondération centrale. La mesure est réglée sur pondération centrale. La fréquence d'images est réglée sur continu haute vitesse.

Conseil n° 6 : utiliser la mise au point panoramique

Pour photographier, j'utilise la technique du Pan Focus. Il s'agit d'un style de photographie dans lequel vous effectuez un panoramique de droite à gauche (ou de gauche à droite) à la même vitesse que votre sujet. Gardez-le au milieu du cadre du mieux que vous pouvez.

Conseil 7 : Utilisez la bonne carte mémoire

Une carte mémoire à haute vitesse est la dernière pièce de ce puzzle. Les cartes mémoire haute vitesse de classe 10 permettent à la mémoire tampon de votre appareil photo de fonctionner au mieux de ses capacités.

Les ultra-téléobjectifs Tamron sont équipés de colliers Arca-Swiss pour trépieds, inclus ou disponibles, afin de les monter facilement sur des monopodes si nécessaire. Les zooms sont résistants à l'humidité et à la poussière, et leur image est stabilisée (VC). Je peux me rendre sur l'eau en kayak, sur les sentiers, dans le désert. La pluie ou la neige ne constituent pas une menace si elles sont modérées.

En savoir plus sur les téléobjectifs Tamron, parfaits pour photographier les oiseaux en vol à un revendeur Tamron agréé dans votre région ou visitez le site Magasin TAMRON aujourd'hui.

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